ARJEL France : les paris en ligne et le nombre de joueuses en hausse au cours du 3e trimestre
Les chiffres de l'Autorité de régulation des jeux en ligne (ARJEL) pour le troisième trimestre en France ont révélé des recettes des paris sportifs menant la charge, un regain d’intérêt de la gente féminine et un poker en ligne ayant besoin d’assistance.
Les paris en ligne en hausse
Les revenus des paris sportifs en ligne tirent de nouveau vers le haut, ayant généré un total de 448 millions d'euros au troisième trimestre de l’année, une hausse de 50% par rapport à l'année précédemte. Cette dernière a été stimulée par le Championnat d’Europe de football et les Jeux olympiques 2016 de Rio.
La tendance des parieurs
Le nombre de parieurs sportifs actifs a grimpé de 45% au cours de ce mxxxme trimestre. L’augmentation la plus notable étant parmi la gente féminine, qui représente 9% de l’activité des paris sportifs en ligne en France. Les chiffres de l’ARJEL indique aussi que les nouveaux comptes des joueuses s’élevent à 85% au 3ème trimestre, le double du taux de 43% de croissance pour les parieurs masculins.
Les sports les plus populaires
Comme d'habitude, le foot représente l'activité des paris sportifs la plus dynamique avec 58% au cours du troisième trimestre, chiffre également boosté par l'Euro 2016, bien entendu. Le tennis termine en seconde position avec 27%.
Le poker en ligne en berne
Moins heureux, l'engouement pour le poker en ligne continue à s’affaisser, avec une nouvelle baisse de 3% des revenus au cours du troisième trimestre, qui se chiffrent à 54 millions d'euros. Les recettes des tournois en ligne ont engrangé à eux seuls 31,2 millions d'euros au cours du troisième trimestre, une toute petite légère augmentation par rapport à 2015 (31 millions d'euros), relative au nombre total des joueurs actifs en baisse de 5%.
Défis à venir
Le défi du poker en ligne est un challenge dur à relever. Le début de l'année 2016 fut le seul trimestre de croissance pour le poker en ligne en France depuis le début de la réglementation du marché en 2010. Cela s'explique notamment à cause d'une législation innapropriée, de taxes trop importantes et d'un manque de popularité.